Vodka ice, fric en pagaille et autres futilités…
Je porte une montre Cartier, une bague à 1000 euros, un gloss Dior effet bouche pulpeuse avec un résultat Pamela Anderson garanti au dos du tube, et je devine déjà l'arnaque mais tant pis. Je suis auto bronzée à mort par toutes les séances d’UV que je m’envoie par jour. Il y’a des temps réglementaires que je ne connais même pas, et que je n’ai d’ailleurs jamais demandé, faute de temps. Ma mère m’a dit que je finirai par crever d’un cancer de la peau. Je lui ai dis qu’elle me foute la paix et qu’elle ferait mieux de se lifter son visage affaissé. Je l’ai tellement vexé qu’elle a tourné les talons et claquer la porte la pouffiasse.
Je suis riche mais je ne l’ai pas fait exprès, l’hérédité peut parfois faire des miracles. La richesse ouvre ô combien de portes, celle de l’avarice, de la luxure et du bonheur sans frontière.
Je me noie dans des orgies de fringues, d’alcool et de coups d’un soir. Et sachez que les bons, nom de Dieu, ça ne court pas les rues. Le mode d’emploi pourrait se résumer à dire que messieurs le point G ne se trouve pas à la plante du pied ou en tout cas, pas chez moi. J’ai 27 hommes à mes soins, et pas des moindres. J’ai des Brad Pitt, Johnny Depp et des Jude Law en un cliquage de doigts.
Si je devais parler d’amour, c’est malheureux à dire, mais j’en dirais pas grand chose. J’y ai laissé ma peau, et pour un rien aujourd’hui je tombe mon string. J’ai trouvé ça trop éreintant de donner un cœur en plus d’un corps. Du coup, je grille ma vie entre des bras différents, des parfums différents et des hommes qui baisent tous différemment.
Je porte à mes lèvres mon bulle rosé d’une main et ma vodka ice de l’autre main, je casse les perles nacrées qui entourent mon cou, juste histoire de dire que j’en ai rien à foutre d’être la fille de machin chose. Je suis moi même avant tout et le reflet que renvoie mon miroir me provoque des orgasmes incessants.
Priscilla
Pour contacter Priscilla ou un autre auteur de la revue : revuenoiretblanc@hotmail.com ou laissez un commentaire
Je suis riche mais je ne l’ai pas fait exprès, l’hérédité peut parfois faire des miracles. La richesse ouvre ô combien de portes, celle de l’avarice, de la luxure et du bonheur sans frontière.
Je me noie dans des orgies de fringues, d’alcool et de coups d’un soir. Et sachez que les bons, nom de Dieu, ça ne court pas les rues. Le mode d’emploi pourrait se résumer à dire que messieurs le point G ne se trouve pas à la plante du pied ou en tout cas, pas chez moi. J’ai 27 hommes à mes soins, et pas des moindres. J’ai des Brad Pitt, Johnny Depp et des Jude Law en un cliquage de doigts.
Si je devais parler d’amour, c’est malheureux à dire, mais j’en dirais pas grand chose. J’y ai laissé ma peau, et pour un rien aujourd’hui je tombe mon string. J’ai trouvé ça trop éreintant de donner un cœur en plus d’un corps. Du coup, je grille ma vie entre des bras différents, des parfums différents et des hommes qui baisent tous différemment.
Je porte à mes lèvres mon bulle rosé d’une main et ma vodka ice de l’autre main, je casse les perles nacrées qui entourent mon cou, juste histoire de dire que j’en ai rien à foutre d’être la fille de machin chose. Je suis moi même avant tout et le reflet que renvoie mon miroir me provoque des orgasmes incessants.
Priscilla
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1 Comments:
Je suis moi même avant tout et le reflet que renvoie mon miroir me provoque des orgasmes incessants. ===== J'adore ! Ça va me rester dans la tête cette dernière phrase. Ce désepoir.......... et l'histoire est marrante en passant et joliment clichée : gosse de riche malheureuse... L'idéal de tout un chacun ? (lol quoique je suis aussi gosse de riche, mais dans un autre genre on va dire...)
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